J’aimerais écrire
Aujourd’hui, captif de mes pensées, emprisonné par ma souffrance,
Celle que je cache dans l’espoir d’un oubli revigorant,
J’aimerais pouvoir écrire, arracher de mon esprit ces mots perdus dans mon errance
Ici-bas dans le monde de la solitude, de la fatigue, et de l’altérant.
Ecrire, j’aimerais écrire, pour faire danser les mots sur le papier
Pour m’envoler en dessous de l’océan et y tremper mes pieds ;
Faire ce que nul n’a fait, écrire et peindre
Des idées et des mots que nul esprit n’a conçus, voici ma quête, bien que je ne puisse l’atteindre.
J’aimerais écrire pour faire rêver
Pour tisser de l’espoir dans les cœurs,
Je serais l’enchanteur des rêveries de mes lecteurs,
Et rien que par mes mots, ils verraient leurs désirs d’évasion, au ciel s’élever.
J’aimerais écrire une nouvelle fois à un ange
Que d’ailleurs il sache qu’ici la vie manque de ses louanges,
J’aimerais écrire pour devenir un ange
Et réconforter, aimer, peindre la vérité, côtoyer l’étrange.
Ecrire pour exister… ;
Je ne suis plus moi-même
Si l’inspiration n’odore plus mon esprit, si la musique n’envole plus mes poèmes,
Je ne m’en sens qu’inutile ; j’en demeure un rien ; je suis poète, j’écris pour subsister…
J’écris, car qu’est-ce qu’un poète sans ses mots ?
Est-ce un musicien sans ses notes ?sans sa musique ?
Ou un peintre sans ses couleurs ?sans ses pinceaux ?
Assurément les deux, un poète orphelin de ses mots, est un triste artiste privé de ses rêves imagés et lyriques.
Les lettres du poète s’emmêlent en mots, dont les sons
S’enchainent dans une musique d’images, rythmé par la chanson
Que son esprit poétique fait de son inspiration,
Au tempo des battements d’ailes du papillon.
Mais par-dessus tout, j’aimerais écrire,
Pour faire fleurir ton sourire,
Pour colorer la vie et nos jours,
Et surtout, pour aimer les plus belles choses au monde : toi et l’amour.
J’écris donc je suis,
Je rêve et ma voix ondule : je suis donc de poésie ;
Ma plume chatouille le papier, et depuis,
Je sais pourquoi j’aimerais écrire : pour toi que j’aime, toi mon ambroisie.
ButterFly
Aujourd’hui, captif de mes pensées, emprisonné par ma souffrance,
Celle que je cache dans l’espoir d’un oubli revigorant,
J’aimerais pouvoir écrire, arracher de mon esprit ces mots perdus dans mon errance
Ici-bas dans le monde de la solitude, de la fatigue, et de l’altérant.
Ecrire, j’aimerais écrire, pour faire danser les mots sur le papier
Pour m’envoler en dessous de l’océan et y tremper mes pieds ;
Faire ce que nul n’a fait, écrire et peindre
Des idées et des mots que nul esprit n’a conçus, voici ma quête, bien que je ne puisse l’atteindre.
J’aimerais écrire pour faire rêver
Pour tisser de l’espoir dans les cœurs,
Je serais l’enchanteur des rêveries de mes lecteurs,
Et rien que par mes mots, ils verraient leurs désirs d’évasion, au ciel s’élever.
J’aimerais écrire une nouvelle fois à un ange
Que d’ailleurs il sache qu’ici la vie manque de ses louanges,
J’aimerais écrire pour devenir un ange
Et réconforter, aimer, peindre la vérité, côtoyer l’étrange.
Ecrire pour exister… ;
Je ne suis plus moi-même
Si l’inspiration n’odore plus mon esprit, si la musique n’envole plus mes poèmes,
Je ne m’en sens qu’inutile ; j’en demeure un rien ; je suis poète, j’écris pour subsister…
J’écris, car qu’est-ce qu’un poète sans ses mots ?
Est-ce un musicien sans ses notes ?sans sa musique ?
Ou un peintre sans ses couleurs ?sans ses pinceaux ?
Assurément les deux, un poète orphelin de ses mots, est un triste artiste privé de ses rêves imagés et lyriques.
Les lettres du poète s’emmêlent en mots, dont les sons
S’enchainent dans une musique d’images, rythmé par la chanson
Que son esprit poétique fait de son inspiration,
Au tempo des battements d’ailes du papillon.
Mais par-dessus tout, j’aimerais écrire,
Pour faire fleurir ton sourire,
Pour colorer la vie et nos jours,
Et surtout, pour aimer les plus belles choses au monde : toi et l’amour.
J’écris donc je suis,
Je rêve et ma voix ondule : je suis donc de poésie ;
Ma plume chatouille le papier, et depuis,
Je sais pourquoi j’aimerais écrire : pour toi que j’aime, toi mon ambroisie.
ButterFly